Le Garmin triathlon de Paris
Hello à tous,
J’espère que tu te portes bien. Pour le premier article sur ce site, je te retrouve avec mon compte-rendu de course de dimanche dernier : le Garmin triathlon de Paris
La veille de la course
Samedi 25 juin, soit la veille de la course, chacun des participants devait déposer son vélo dans le parc et récupérer son dossard.
Une fois le dossard et les stickers récupérés, j’ai tout préparé : coller les stickers sur le casque et le vélo, mis mon bracelet et attaché mon casque.
Une fois cette préparation faite, j’ai pu déposer mon vélo dans le parc à mon emplacement. Sachant la pluie annoncée, j’ai emballé la selle et le cintre de mon vélo.
Lors de ce moment, il est primordial de repérer ton emplacement afin de ne pas perdre de temps en transition le jour J.
Ensuite retour à la maison et préparation des affaires pour le lendemain. J’ai donc soigneusement préparé mes affaires pour chacun des trois sports et mes ravitos. (plus de détails dans la vidéo). Je prépare moi-même ma boisson d’effort, je la prépare donc le jour J.
La veille d’un triathlon, j’ai pour habitude de faire une petite sieste pour me reposer en amont. De plus le réveil pour le lendemain cette fois-ci est réglé à 4h40 !!
Le jour J
Après un petit-déjeuner à 5 heures du matin et une arrivée sur site à 6h15, je rentre dans le parc à vélo avec mon matos de transition et ma pompe à vélo pour regonfler mes pneus. Je retrouve mon vélo à son emplacement.
A partir de ce moment-là je rentre dans ma bulle et je dispose mes affaires comme j’ai l’habitude de le faire sur toutes mes courses : pas de changements les jours de compétitions !
Le soleil rasant sur le parc à vélo
Direction le départ
Une fois le vélo et le matos déposé, direction le départ et là c’est simple, il faut marcher 1,5km pour rejoindre le départ de la nat. Ca m’a paru super loin 😂 (surtout un dimanche matin à sept heures et quart 😂). Une fois arrivée sur place, beaucoup trop de monde pour les toilettes, vive la nature du coup. 😅
Après avoir fait tourner les bras à sec, enfiler ma combi et mis ma crème anti-frottements, j’enfile ma combi et je rentre dans mon sas de départ, il est 7h55.
Et là, c’est le début des problèmes…
Nous voilà chacun dans nos sas de départ mais malheureusement le départ de la première vague va être lancé avec plus de 30 minutes de retard et suite à ça toutes les vagues vont s’élancer sans aucun espacement… Des gros goulots d’étranglements se forment nécessairement…
Malgré tout ça, je fais une très bonne natation. Je remonte pas mal de monde malgré un vraie accumulation de monde. Les compétitions en eaux libres du passé refont surface et je joue des épaules pour venir me placer. La nage s’est déroulé dans le canal de l’Ourcq et l’eau était pleine d’algue et autres végétations.
Une fois que j’ai enfin réussi à monter sur mon vélo (après 2 MINUTES 30 !!!), j’envoie un gros vélo (par rapport à mes allures habituelles). De très bonnes sensations, encore une fois, je remonte du monde et ça fait du bien au mental !
Côté nutrition : une légère hypoglycémie sur la fin du vélo mais que je gère parfaitement en retrouvant ma pâte de fruit sur l’aire de transition !
La T2 se passe bien, je pars de mon emplacement en courant et je ne vais pas m’arrêter de courir jusqu’à la finish line ! Après 4 mois sans pouvoir courir (tendinite de la patte d’oie…), c’est la délivrance !
J’ai les jambes et ça court ! Dans le premier kilomètre, on passe une passerelle avec une soixantaine de marches (à monter / descendre) qui me casse moins les pattes que ce que je pensais !
Ici encore, un problème d’organisations, des vélos qui se baladent « gênent » notre partie course à pieds et un parcours de 10,8km et non pas 10 🙂
Finish line !! Et record perso !
Un record personnel battu et une belle médaille autour du cou ! 3h23 et 30 secondes pour boucler ce triathlon. Très contente de ce chrono qui sera rapide pour certains et lent pour d’autres. Mais chacun ses combats 😉
Conclusion
Pour conclure, je ne recommanderai pas spécialement ce triathlon si tu es expérimenté(e) dans la mesure où il y a beaucoup de monde pour faire une belle perf. Qui sais, avec une meilleure organisation, ce serait peut-être possible…
Maintenant, si tu réalises ton premier triathlon et que tu veux découvrir la discipline (et que tu es prêt à y laisser le prix) alors tu peux t’inscrire sur ce triathlon. Mais ce n’est pas le seul 😉 Il en existe des moins chers et mieux organisés !
Le recap en vidéo
Retrouve ici le format vidéo de ce compte-rendu :
Triathlon de Beauvais [Plan d'eau du Canada]
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